Alexandre Trocki: «Je ne connais pas d’artistes qui sont contents d’être au chômage»

Travaillez-vous beaucoup ?

Cette saison, je vais reprendre « Et avec sa queue il frappe » aux Tanneurs en mars, et puis je joue « Le jour, la nuit et le jour d’après la mort », encore aux Tanneurs mais en avril. Je prépare également le nouveau Thomas Gunzig pour la rentrée mais aussi une pièce de Martine Wijckaert et une pièce de Michel Bélier. Je n’ai jamais eu de creux. J’ai eu beaucoup de chance depuis que je suis sorti de l’école. J’ai toujours travaillé et dans des maisons différentes. J’ai levé le pied au décès de ma femme pour m’occuper de ma famille. Avant, je travaillais 8 ou 9 mois de contrat, mais aujourd’hui, j’aère les contrats et donc, c’est plutôt 6 ou 7 mois.

Combien gagnez-vous ?