Comment la «Russian connection» fragilise Trump
Donald Trump tentait mardi de trouver la parade après la démission de son conseiller à la sécurité nationale Michael Flynn qui soulève des interrogations sur sa capacité à s’entourer mais aussi sur l’épineux dossier de ses relations avec Moscou. Mis en cause pour ses contacts avec l’ambassadeur russe à Washington, Sergey Kislyak, l’ancien général Flynn a été contraint de jeter l’éponge.

Il était devenu un fardeau, et la plus grande déception de Donald Trump, qui confiait à mots couverts une exaspération grandissante. Le général Michael G. Flynn, conseiller du président à la sécurité nationale, a bu la coupe jusqu’à la lie lundi soir : cet ancien des renseignements militaires, fervent partisan d’un rapprochement avec Moscou, a dû remettre, contraint et forcé, sa lettre de démission au chef de l’État, moins d’un mois après son entrée en fonction. Il a été remplacé à titre temporaire par le lieutenant-général Keith Kellogg.

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