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Jean-Pascal van Ypersele: «J’avais dit la présidence ou rien. Je quitte donc le Giec»

Le climatologue belge achèvera son mandat au Giec jeudi soir. C’était la présidence ou rien. Mais se dit honoré du soutien qu’il a reçu.

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 2 min

Déception évidemment pour le candidat belge Jean-Pascal van Ypersele et pour son équipe, hier soir à Dubrovnik. Au cours de ces derniers mois, le climatologue de l’Université catholique de Louvain a visité une soixantaine de pays pour promouvoir sa candidature. Il a attiré 32 voix au premier tour. Et en a obtenu 56 au second. Mais cela n’a pas suffit pour l’emporter au second tour face à son concurrent coréen.

« Mais, dit-il, j’ai obtenu les voix de 56 pays. Cela représente des centaines de millions de personnes. Je prends ça comme un très grand honneur. C’est un soutien à ma vision du Giec. Je serai heureux de servir l’institution jusqu’à la fin de mon mandat, jeudi soir ». L’avenir ? Il va falloir un peu de temps, poursuit-il. « Mais je trouverai quelque chose d’encore plus intéressant à faire. Je suis vraiment zen, je l’ai dit. C’est la démocratie qui s’est exprimée, longue vie au Giec ».

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