Sous l’ère Trump, le suprémacisme blanc reprend des couleurs
Une centaine de tombes juives ont été vandalisées dans un cimetière en Philadelphie ce week-end. La parole des groupes prônant la haine s’est libérée avec l’élection de Donald Trump.

917. C’est le nombre de groupes prônant la haine recensés en 2016 aux États-Unis par le Southern Poverty Law Center (SPLC), association de défense de minorités et de droits civiques. C’est 15 de plus qu’en 2015. Avec une nette augmentation pour les groupes considérés comme antimusulmans, qui ont triplé en un an, passant de 34 à 101.
Et aucune communauté ne semble épargnée.
Dimanche, une centaine de tombes juives ont été vandalisées dans un cimetière en Philadelphie. Une semaine avant, un cimetière de Saint-Louis (Missouri) avait été dégradé.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Le journaliste oublie que selon le storytelling de l'époque, les juifs sont assimilés comme des privilégiés avec les blancs, hommes, hétéros et que les discours antisémites ne viennent plus de blancs de droite, mais de gauchistes musulmans ou blacks. Le KKK est pour l'instant complètement insignifiant.
KKK complètement insignifiant?? Je n'ai pas les mêmes infos!