Examen de passage réussi au Congrès pour un Donald Trump fédérateur et volontiers messianique
Donald Trump a tenu un discours aux antipodes de celui de son investiture.

De l’ombre à la lumière : trente-neuf jours séparent le discours d’investiture du président Donald Trump et celui prononcé mardi hier devant le Congrès réuni en session conjointe, aussi distinctement que le jour et la nuit, au sens presque littéral. Le 20 janvier, sous un crachin désagréable, le milliardaire new-yorkais avait évoqué en des termes crépusculaires un « carnage américain » au sortir de l’ère Obama. Face aux 535 élus réunis sur la colline du Capitole, son gouvernement, l’état-major, la Cour suprême amputée de trois de ses membres insoumis, Donald Trump a prononcé une allocution placée sous le signe « de l’espoir et des rêves », priant presque humblement ses compatriotes « de croire en eux-mêmes, croire en l’avenir, une fois encore, en l’Amérique ». Une heure durant, il a appelé de ses vœux le « renouveau de l’esprit américain », optimiste et conquérant.

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