Eric Fourez, Variations sur une trace Un bonheur
Chaque tableau est un poème, l’entame d’une réflexion sur l’illusion de la perception, le silence, l’éloignement, l’évidence de la lumière.

Si le noir conduit l’œil à l’intérieur du tableau comme dans un puits sans fond, le blanc d’Éric Fourez, au contraire, fait jaillir et se répandre la lumière. Dans le noir, on s’engouffre, aspiré par le temps, dans le blanc, on flotte dans l’infini. En peinture, ces deux couleurs paradoxales ont la monumentalité en commun quand elles couvrent presque entièrement le tableau.

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