Le Klara Festival s’interroge sur l’émigration et l’identité
« Home sweet home », le titre de l’édition 2017, ne manque pas d’ambiguïté car davantage que le bonheur d’être chez soi, c’est son absence qu’il va aborder.

La migration ou l’exil nous parle directement du vécu de notre monde, tout comme les problématiques qu’engendrent ces déplacements : l’identité, la fuite, l’aliénation, les échanges culturels, le mal du pays ou l’envie de voir du pays. Autant de démarches qui vont naître d’un retour aux racines musicales. Avec tout le respect pour les écoles nationales et les musiques populaires que cela implique : au-delà des choix mélodiques et rythmiques, issus des musiques populaires. On ne s’étonnera donc pas de voir la programmation se centrer sur l’Europe et les Etats-Unis, le Vieux et le Nouveau Monde au cours des XIXe et XXe siècles.

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