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«C’est l’histoire d’un petit garçon qui se tient debout et qui fait front»

En arrière-plan du portrait d’un gamin en marge, Philippe Claudel parle d’une France aigrie par l’élite politique et prête à voter Front National

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 3 min

Prix Renaudot pour Les âmes grises en 2003, l’écrivain Philippe Claudel continue son observation des liens familiaux à travers le cinéma. Pour son quatrième long-métrage, il a choisi de travailler sur le réel avec un style sur le vif, des acteurs méconnus et des gamins vierges de tout.

Peut-on dire que votre film est autobiographique ?

Par l’environnement, les paysages, le lieu de tournage qui est la ville où je suis né, où j’habite (Dombasle-sur-Meurthe). Tous les décors du film sont en relation avec des moments de ma vie d’enfance ou actuelle. Ils composent une mosaïque qui parle de moi, témoigne d’un rapport d’identité.

Qu’aimez-vous dans le jeune héros de votre film ?

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