Lisza La vie sauvage
Ce 17 mars au Botanique (Saint-Josse-ten-Noode).


Lizsa et Vincent Liben étaient faits pour réaliser ensemble des chansons qui leur ressemblent.
Si les textes de la chanteuse bruxelloise peuvent parfois faire mal à ceux qui s’y reconnaîtront, partageant avec elle une enfance pas toujours joyeuse, il y a dans sa voix douce et dans la musique délicate, élégamment rythmée comme un tango langoureux, de ses chansons comme un baume qui agit en profondeur. On se sent bien dans ces chansons fragiles, dans ces rythmes latins qui ne jouent pas la carte du minimalisme.
Cordes (JF Assy au violoncelle, Nicolas Stevens au violon), chœurs, guitares et claviers (Vincent Liben est ici solidement épaulé par Fred Lafarge)… Tout ici est subtil et fin. Tendre et mélancolique.
Un disque déhanché mené tête nue, à pas de loup et de velours…

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