Comme Volkswagen, Renault aurait truqué certains de ses moteurs
Selon le quotidien « Libération », la Direction de la répression des fraudes soupçonne la présence d’un dispositif frauduleux pour limiter les émissions de gaz polluants pendant les tests d’homologation


Cela fait maintenant de longs mois que le doute plane : le constructeur français Renault a-t-il, à l’instar de son concurrent allemand Volkswagen, truqué certains de ses moteurs diesel afin d’en limiter frauduleusement les émissions de gaz polluants pendant les tests d’homologation ? Lorsque le scandale du « dieselgate » a éclaté en septembre 2015 aux Etats-Unis, plusieurs gouvernements de ce côté-ci de l’Atlantique ont lancé des enquêtes pour vérifier si de telles pratiques illégales n’affectaient pas le parc automobile dans leur propre pays. C’est dans ce cadre que nos collègues du quotidien français Libération ont publié mercredi des extraits d’un procès-verbal de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) qui a contribué à l’ouverture le 12 janvier par le parquet de Paris d’une information judiciaire visant le premier groupe automobile français pour « tromperie sur les qualités substantielles et les contrôles effectués ».

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