Vincent de Coorebyter sur le 22 mars : «Nous vivons comme avant, mais nous ne pensons plus comme avant»
Le professeur de l’ULB estime que « le débat public est resté digne » après les attentats de Zaventem et Maelbeek du 22 mars. Mais il ne faut pas pour autant sous-estimer les crises sous-jacentes que vit notre société.

« I l faut distinguer le visible et l’invisible » pour tenter d’établir un diagnostic nuancé des répliques provoquées dans notre société par la secousse du 22 mars, estime le professeur de l’ULB Vincent De Coorebyter.
Qu’est-ce qui vous frappe particulièrement dans cette Belgique post-attentats ?

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Une popullation qui ne réagit plus fait le terrain du cancer. De l'extérieur tout l'air normal, mais le crabe de la haine lui avance inexorablement.
voilà bien un titre incompréhensible. N'y a-t-il pas une négation qui manque ??