«Les femmes reconstruiront la Syrie!»
Majd al-Chourbaji a perdu son mari, mort en prison à Damas. Elle-même a été torturée. Elle se consacre désormais à l’éducation des enfants dans les camps de réfugiés au Liban et à l’émancipation des femmes.


Majd Izzat al-Chourbaji vient de Daraya. La banlieue ouest de Damas. Quelque 300.000 habitants avant les événements. Une ville vide et détruite actuellement. « En 2011, je me suis jointe aux manifestants qui réclamaient la liberté », nous explique-t-elle à l’occasion de son passage à Bruxelles cette semaine. Tout a basculé en 2012 pour Majd. « En août, ils ont tiré sur les gens, il y a eu 1.500 morts en trois jours. » A la fin de l’année, son activisme - elle aidait les femmes seules à s’en sortir, donnait même des cours de droits civiques - dépassa les bornes pour le régime, qui l’arrêta, avec son mari, sa mère et ses trois enfants.

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oui, toute en soumission...