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Braine-le-Comte: Maxime Daye, bourgmestre pressé

Le libéral Maxime Daye n’a pas attendu 2018 pour prendre le mayorat. Le signe d’une forte ambition selon l’opposition. Portrait.

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Journaliste au service Forum Temps de lecture: 4 min

Pour faire de la pièce qu’il occupe depuis peu au rez-de-chaussée de l’hôtel de ville de Braine-le-Comte le bureau d’un bourgmestre, il manque selon Maxime Daye (MR) une machine à café. « Je dois la recevoir dans quelque temps », annonce-t-il avant de proposer, faute de petits noirs, une bouteille d’eau. Pour le reste, le jeune homme de 32 ans s’est déjà pleinement glissé dans le costume du « premier citoyen » de la ville depuis sa prestation de serment de mercredi dernier : jeudi, il a conduit son premier collège communal et, vendredi, a travaillé sur quelques dossiers avant, le soir, de célébrer une dernière fois son accession au mayorat avec quelques proches, dont Jacqueline Galant, la ministre fédérale des Transports : « Une amie de longue date », qui très prochainement, si ce n’est déjà fait, entendra parler d’un projet de rénovation de la gare de Braine-le-Comte. « Il faut parfois faire jouer la carte de l’amitié », justifie Maxime Daye.

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