Clément Cogitore: «J’aime que le cinéma raconte l’invisible»
Plasticien, Clément Cogitore signe un polar métaphysique avec Jérémie Renier en soldat perdu en Afghanistan. Il questionne ainsi nos croyances et le cinéma. Entretien


Depuis qu’il est sorti de l’école, Clément Cogitore, 32 ans, développe une pratique à mi-chemin entre cinéma et art contemporain. Il a exposé à Paris, Strasbourg, Berlin, Boston… Mêlant films, vidéos, installations et photographies, son travail, comme il le dit lui-même, questionne les modalités de cohabitations des hommes avec leurs images. Il y est le plus souvent question de rituels, de mémoire collective, de figuration du sacré et d’une certaine idée de la perméabilité des mondes. Son premier long-métrage de fiction, Ni le ciel ni la terre, ne déroge pas à cette veine.
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