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Clément Cogitore: «J’aime que le cinéma raconte l’invisible»

Plasticien, Clément Cogitore signe un polar métaphysique avec Jérémie Renier en soldat perdu en Afghanistan. Il questionne ainsi nos croyances et le cinéma. Entretien

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 3 min

Depuis qu’il est sorti de l’école, Clément Cogitore, 32 ans, développe une pratique à mi-chemin entre cinéma et art contemporain. Il a exposé à Paris, Strasbourg, Berlin, Boston… Mêlant films, vidéos, installations et photographies, son travail, comme il le dit lui-même, questionne les modalités de cohabitations des hommes avec leurs images. Il y est le plus souvent question de rituels, de mémoire collective, de figuration du sacré et d’une certaine idée de la perméabilité des mondes. Son premier long-métrage de fiction, Ni le ciel ni la terre, ne déroge pas à cette veine.

Comment définir votre film ? Film de guerre ou polar métaphysique ?

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