Syrie: les États-Unis tapent du poing
Après le massacre à Khan Cheikhoune (au moins 86 morts), le régime syrien est pointé du doigt. Comme en 2013 après le massacre similaire de Ghouta (1.300 morts).


NEW YORK
« A ssad doit partir ». Le premier à se présenter devant les caméras, ce mercredi matin au Conseil de sécurité des Nations unies, est l’ambassadeur britannique Matthew Rycroft. Visage fermé, masquant difficilement un écœurement total, le représentant de Londres rappelle l’évidence. 86 personnes, bilan provisoire, dont 30 enfants, ont été tuées mardi lors d’un bombardement aérien au gaz sarin dans la localité syrienne de Khan Cheikhoune, entre Idlib et Hama (ouest), et 400 autres grièvement atteintes. Le régime alaouite de Bachar el Assad est pointé du doigt, comme en 2013 après le massacre similaire de Ghouta (1.300 morts).

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Seule faute pr moi d' Obama est de n' avoir pas frappé en Syrie en 2013 quand Assad a franchi la premier fois la ligne dite ROUGE. Les français étaient partant!
C'est triste à dire, mais Poutine ne lâchera pas Assad! C'est le seul pion qui lui permet de garder sa base navale en Méditerranée! Peu lui importe les morts et les responsabilités, pour lui, cette base navale est d'ordre stratégique, il ne pliera pas!