Panatta: «Avec Goffin, c’est déjà 2-0 pour la Belgique»
La Belgique est aux portes d’une deuxième demi-finale de Coupe Davis en trois ans. Figure emblématique du tennis transalpin, Adriano Panatta, 67 ans, évalue les forces en présence : avantage à Goffin et consorts.

Viveur, provocateur, irrévérencieux même, Adriano Panatta a marqué le tennis italien. Il est le tennis italien. Une légende. Avec son coup droit dévastateur et son jeu de volée imprévisible et délicat. Le Romain ressent toujours une passion particulière pour cette Coupe Davis qu’il a remportée le 18 décembre 1976 à Santiago du Chili, avec l’actuel capitaine azzurro, Corrado Barazzutti, et Paolo Bertolucci. 1976, un millésime inoubliable, unique même pour le champion et la petite balle jaune au-delà des Alpes. Entre le 30 mai et le 13 juin de cette année-là, il s’adjuge les internationaux d’Italie et Roland Garros. Le dernier titre en grand chelem d’un joueur italien. Six mois plus tard, l’homme aux Superga soulève le Saladier d’argent, vêtu d’un polo rouge pour faire un pied de nez au dictateur sud-américain, Pinochet. Atypique et romantique, Panatta avoue qu’il ne sait plus où il a rangé ses trophées de Rome et Paris.

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