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Nabil Ayouch: «Personne ne peut être menacé de mort pour un film»

Le film de Nabil Ayouch raconte le quotidien de quatre prostituées marocaines. Cela valut menaces de mort et procès à l’équipe. Autres exemples de censure, en Europe, en Asie, en Afrique.

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 5 min

Reflet des peurs d’une société et corollaire d’une époque, la censure au cinéma n’a jamais connu de répit. En voici une nouvelle preuve avec Much loved, de Nabil Ayouch, censuré au Maroc. Cette fiction qui fait le portrait réaliste de prostituées marocaines a provoqué une flambée d’insultes via les réseaux sociaux, des menaces de mort et un procès suite à un extrait diffusé sur le Net et sa projection à Cannes. Parce que le film consiste en «  un outrage grave aux valeurs morales et à la femme marocaine, et une atteinte flagrante à l’image du royaume  ». De passage au Festival de Namur, Nabil Ayouch nous a confié son sentiment face à cette affaire.

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