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U2, innocence perdue et humanité

Mardi soir, U2 a donné le premier de ses deux concerts anversois. Le groupe séduit toujours en mêlant rock et bons sentiments. Bono a appelé son public à accueillir les réfugiés.

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 2 min

Il est 20h15. Bono entre seul sur le ring. La sono diffuse « Power To the People » de Patti Smith. Le chanteur a le poing levé. L’homme de tous les combats va d’abord raconter son enfance et celle du groupe dans les rues de Dublin. Ces chansons « d’innocence » comme il les appelle, influencées par les morceaux des années 70 que la sono passait en avant-programme.

Cette innocence, Bono va la perdre à 14 ans, à la mort de sa mère. C’est l’histoire d’Iris et de « Cedarwood Road » qu’il nous raconte, avec ce gigantesque écran projetant dessins et images du passé. Avec « Song For Someone », c’est déjà le premier très beau moment d’émotion que nous offre U2 avant la violence de « Sunday Bloody Sunday » et ses victimes oubliées. « Until the End Of the World », c’est un autre mur qui se dresse, celui du mur du Berlin, qui coupe la salle en deux.

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