Présidentielle: les partis sont morts. Vive les partis
Les deux partis qui constituaient depuis 50 ans la colonne vertébrale politique de la France sont sur le point d’exploser. Mais l’outil « parti » n’est pas à jeter par-dessus bord.


C’est un véritable tremblement de terre pour la France. Les deux partis qui constituaient depuis 50 ans sa colonne vertébrale politique sont sur le point d’exploser. Le Parti socialiste pourrait être coupé en trois, Les Républicains devraient tenir le coup jusqu’aux législatives pour mieux éclater ensuite.
La faute à Emmanuel Macron qui, dans le cadre très spécifique d’une élection présidentielle – qui ne demande pas la présentation de listes de candidats –, a osé un destin très personnel, hors des balises traditionnelles du champ politique ? Ce jeune homme qui n’a pas grandi dans le sérail politique, a à l’évidence senti avant d’autres, le ras-le-bol populaire vis-à-vis du système partisan, jugé sclérosant et paralysant. Mais le PS et Les Républicains ont trop beau jeu de lui imputer à lui, ou aux affaires, ou à la presse, le coup de revolver que vient de lui infliger l’électeur.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
l'analyse sur les partis me paraît excellente mais à côté de cela ne faudrait-il pas mettre en cause la recherche de la mise en valeur individuelle. Parmi les exemples, il y a les sondages sur les personnalités et non sur les actions. En fait, n'-y-a-t-il pas une sorte de jacobinisme, volontaire ou pas, à chaque niveau ?
A final, je suis assez heureuse du résultat. J'au toujours rêvé de la morts des partis et d'une Victoire du Centre. De plus maintenant "Sens commun" s'est constitué en vrai contre pouvoir contre les LGBT (même si mon héroïne est Agacinsky). Et la presse n'a ni perdu ni gagné. Match nul.
A final, je suis assez heureuse du résultat. J'au toujours rêvé de la morts des partis et d'un victoire du Centre. De plus maintanant "Sens commun" s'est constitué en vrai contre pouvoir contre les LGBT. Et la presse n'a ni perdu ni gagné. Match nul.