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«Je crains une gentrification du quartier et une perte de l’emploi non qualifié»

Anthropologue et chercheur, Martin Rosenfeld a vécu six ans dans le quartier Heyvaert et a publié une thèse sur l’exportation de voitures d’occasion vers l’Afrique.

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 3 min

Anthropologue, Martin Rosenfeld est chercheur au Germe (Groupe de recherche et d’étude sur les migrations et l’ethnicité) à l’ULB. En décembre 2013, il a rédigé une thèse de doctorat consacrée à l’exportation de voitures depuis Bruxelles vers l’Afrique.

Pourquoi cette activité s’est-elle concentrée dans le quartier Heyvaert ?

Le premier facteur qui fait de Bruxelles une place marchande attractive est sa proximité du port d’Anvers, qui est l’un de ceux possédant l’une des plus grandes capacités mondiales de chargement « RoRo », c’est-à-dire le chargement roulant particulièrement bien adapté au commerce de véhicules.

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