Pourquoi les «fake news» n’ont pas influencé l’élection
A contrario des scrutins britannique et américain, les « fausses informations » ne semblent pas avoir joué de rôle prépondérant dans la campagne française.


Cette fois, la désinformation n’a pas payé. Alors qu’elles ont contribué à faire élire Donald Trump, à faire pencher l’opinion britannique vers le Brexit, les fake news n’ont pas propulsé Marine Le Pen à l’Elysée. Car la présidentielle française n’a pas échappé à ce qui s’érige désormais comme une nouvelle variable électorale : la désinformation crasse, distillée à dessein via les réseaux sociaux, pour peser sur le vote. Il y en a pourtant eu un paquet lors de cette campagne. Du « MacronLeaks » au soi-disant compte caché du candidat d’En Marche ! aux Bahamas, les faussaires n’ont pas chômé. Et c’est le président désormais élu qui a essuyé l’essentiel des attaques, tandis que sa rivale y a échappé…

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire