Que vont faire les «ni Le Pen, ni Macron»?
Pas convaincus par le message rassembleur du nouveau président, ces « ni-ni » (pour « ni Le Pen, ni Macron ») s’organisent en « front social ».


Ils ont refusé de choisir entre l’extrême droite et « l’extrême libéralisme ». Ces électeurs, qui ont opté pour le vote blanc ou l’abstention, n’ont jamais caché leur animosité envers le président fraîchement élu. « Insoumis » et autres déçus du premier tour organisent déjà la résistance. Depuis l’annonce de la victoire d’Emmanuel Macron, un parfum de rébellion flotte dans l’air. Dimanche soir, des mobilisations « anticapitalistes » ont eu lieu notamment à Paris, Tours, Caen, Nantes et Grenoble.

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