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Le FDF se paie le tax shift suédois et le MR au passage

Le parti amarante voit un fossé entre les promesses du MR et la réforme fiscale du gouvernement fédéral, et produit ses propres engagements.

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Journaliste au service Politique Temps de lecture: 4 min

Inutile de dire que Charles Michel n’a pas obtenu la confiance de tout le monde jeudi à la Chambre. Certainement pas celle du FDF. Qui, d’abord parce qu’il est dans l’opposition au fédéral, aussi parce qu’il faisait partie de la grande famille libérale-réformatrice jadis (jusqu’à fin 2011), ne passe rien de rien à un MR qui s’est hissé entre-temps au fédéral aux côtés de la « vade retro ! » N-VA.

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