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Parc Maximilien: Il en reste les palettes et la solidarité des bénévoles

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 4 min

Du parc Maximilien, évacué il y a 15 jours, il reste ces palettes de bois, entières ou disloquées. Au 22 quai de Willebroeck, les bénévoles et les réfugiés en ont fait un escalier. D’autres ont été utilisées pour borner en paddocks fonctionnels des espaces de rencontre, de jeux pour les enfants, un accueil social ou une consultation juridique. Des dessins éparpillés racontent le périple à travers l’Europe. D’autres tracent les couleurs de l’espoir d’un avenir retrouvé. Dans ce bâtiment industriel où se poursuit l’accueil citoyen des réfugiés qui ont mis fin en Belgique à leur hasardeux périple, règne une bonne humeur que laissent deviner des échanges joyeux en des idiomes aussi divers que les nationalités de ces pauvres hères.

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