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Le pilier laïc attaque la fusion UCL/Saint-Louis

Les recteurs de l’ULB, de l’ULG et de l’Umons s’associent pour contrer la fusion entre l’UCL et Saint-Louis. La rhétorique bruxelloise fait désormais place à un argumentaire législatif. Dans le camp d’en face on pense avoir la Constitution pour soi.

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Chef du service Société Temps de lecture: 2 min

«  U ne identité forte et partagée »… C’était, en septembre dernier, la contre-proposition de l’Université libre de Bruxelles à l’Université Saint-Louis qui venait d’annoncer ses fiançailles avec l’UCL. Craignant « une fragmentation du pôle universitaire bruxellois », l’ULB offrait à la « petite » université Saint-Louis un « adossement sans fusion » plutôt qu’une « absorption par l’UCL » fondée sur une « stratégie d’expansion suivie de longue date ».

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