Les arguments des deux camps

Respect du décret
Les fusions dans l’enseignement supérieur ne datent pas de la semaine dernière. Cela fait des décennies que les institutions se fiancent et se marient à tout va, poursuivant quatre objectifs : mettre en commun les compétences, réduire l’offre pour en améliorer la qualité, peser davantage dans la petite Communauté française de Belgique et exister, tant que faire se peut, à l’international. Dans cet esprit, les hautes écoles ont vécu des fusions par dizaines depuis les années 70. Plus récemment, les recteurs le rappellent, les universités ont suivi le mouvement. Liège « s’est offert » les facultés agronomiques de Gembloux (au grand dam d’ailleurs des acteurs brabançons et namurois), plus tard elle a mis la main sur la Fondation universitaire luxembourgeoise. Mons, où cohabitaient trois minuscules institutions, a généré l’UMons d’un côté et une fusion avec l’UCL de l’autre.

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