Theresa May, une Thatcher d’un métal plus souple
En poste depuis moins d’un an, la Première ministre conservatrice Theresa May annonçait le 18 avril l’organisation d’élections législatives anticipées. Son objectif ? Muscler sa majorité au Parlement avant de se lancer dans les épineuses négociations sur la sortie de l’Union européenne. Mais la campagne qui s’achève n’a pas été facile pour elle. Portrait.


A l’aube d’une élection générale qui devrait donner la légitimité des urnes à un vrai premier mandat, la cheffe du gouvernement de Sa Majesté et leader de la droite, Theresa May, se remémore à coup sûr un texte qu’elle aime à citer, la prière de Sir Francis Drake, le vainqueur de l’Invincible Armada : « ce n’est pas dans les commencements, mais dans la poursuite d’une tâche jusqu’à sa réalisation parfaite et sincère que réside la vraie gloire ». Les négociations sur le Brexit, suspendues le temps d’une brève campagne, pourront reprendre leur cours, et à l’écouter, le royaume aspirer à une grandeur nouvelle.

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