«L’école libre devrait être nationalisée»
Vingt après sa création, l’Aped lance un livre bilan. Elle pose les conditions d’une école moins inégalitaire. Quitte à saborder l’organisation en réseaux.


Tout est né d’une manifestation. Grâce, ou à cause, de Laurette Onkelinx (PS) qui, en 1995, sévissait dans les budgets de l’école et avait précipité des milliers d’enseignants dans la rue. Ce jour-là, des profs francophones et néerlandophones se retrouvent sous un même calicot. Des profs qui ont en commun une vision progressiste de l’instruction et de l’éducation.
De cette journée dans la rue est sorti un « Appel pour une école démocratique », formalisé à l’époque par une carte blanche publiée dans Le Soir. Vingt ans plus tard, si le contexte a bien changé, la cible reste intacte, ainsi que le rappellent les pionniers du mouvement – Nico Hirtt, Jean-Pierre Kerckhofs et Philippe Schmetz – dans un livre qu’ils viennent de publier.

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