Accueil

Société Au Maroc avec « Le Cheval de l’espoir » : Rompre pour retrouver des repères

Article réservé aux abonnés
Temps de lecture: 3 min

L’aide à la jeunesse en décrochage est une question épineuse. Dans bien des cas, un accompagnement social classique ou, en cas de délinquance, les mesures répressives sont improductifs ou même contre-productifs. Depuis trois ans, une ASBL liégeoise, « Vent debout » a mis sur pied un concept original, appelé « Le Cheval de l’espoir » qui, à son estime, produit des résultats encourageants. Il s’agit de séjours de « rupture solidaire » de deux mois dans une ferme isolée au Maroc, non loin de Tanger.

« En trois ans, nous y avons emmené 58 jeunes garçons, âgés de 15 à 18 ans, explique Luc Mormont, directeur de l’ASBL. Ils sont déscolarisés, délinquants, fugueurs, consommateurs de drogue et/ou d’alcool ou accros aux jeux vidéos mais en tout cas en rupture avec la société. Beaucoup d’entre eux ont déjà fait des séjours en IPPJ. Ils nous sont envoyés par les Tribunaux de la Jeunesse, les SAJ (Services d’Aide à la Jeunesse) ou SPJ (Services de Protection judiciaire) . »

Cet article est réservé aux abonnés

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info
La UneLe fil info

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs