Cinq salariés jugés le 2 décembre pour les violences à Air France
Ils sont soupçonnés d’avoir eu un rôle actif dans les incidents du 5 octobre intervenus en marge du Comité central d’entreprise (CCE) consacré à l’annonce d’un plan de restructuration impliquant une possible suppression de 2.900 postes, où deux dirigeants d’Air France avaient été molestés et obligés de s’enfuir, chemises arrachées, en escaladant des grilles de l’aéroport.