Entre autres abandons, celui du dispositif de « décertification » de produits bio dans lesquels on aurait détecté des pesticides ou des produits OGM. Actuellement, même si c’est rare, un produit « contaminé » lors d’un transport, du stockage ou d’une pulvérisation voisine peut perdre le label AB si l’on détecte au-delà d’un certain seuil des produits chimiques ou manipulés génétiquement.
Le Parlement compte, à ce stade, supprimer ces seuils, introduisant de facto une tolérance aux pesticides, s’étrangle-t-on du côté des associations qui y voient une manœuvre des importateurs, certificateurs et transformateurs de produits bio.