Les paroles des autorités fédérales sur le dossier climatique sont belles, mais les actes sont absents, accuse le WWF Belgique dans une lettre ouverte au Premier ministre Charles Michel.
Par la rédaction
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C’était le 30 novembre. Le Premier ministre Charles Michel (MR) s’adressait au monde, depuis la tribune de la conférence de l’ONU sur le changement climatique, la COP21, à Paris : « La vigilance ne suffit pas. Nous devons être déterminés. Pas seulement avec les mots ou des textes, mais surtout avec des actes ». Trois mois plus tard, les actes en question sont assez peu visibles.