Le chef de la semaine : Patrick Vandecasserie

Pas trop à l’étroit dans la cuisine du Mayeur après celle de la Villa Lorraine ?
Pas du tout, d’autant que je ne me retrouve pas dans un mouchoir de poche. L’outil actuel correspond à des envies nouvelles, tant chez moi qu’en ce qui concerne la clientèle qui m’a suivi. Parfois, on se croirait encore à la Villa, mais sans le stress.
Qu’avez-vous emmené d’autre ? L’exigence du beau produit.
Le service et l’ambiance sont certes différents, mais il n’y a aucune concession sur la qualité. D’ailleurs, j’ai repris quelques classiques de la grande époque, notamment des plats à la façon de Marcel Kreush. Les initiés comprendront. J’ai aussi gardé certains fournisseurs. Pour les viandes, je travaille avec l’atelier Dierendonck, à Saint-Idelsbald, un boucher extraordinaire.

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