Pour rappel, en 2012, c’est François Hollande qui était arrivé en tête devant Nicolas Sarkozy. Un an plus tard, la situation est inversée, c’est Nicolas Sarkozy qui est en tête avec 30 % et derrière François Hollande à égalité avec Marine Le Pen à 22 %.
Dans ce contexte, et si l’on prend en compte les marges d’erreur – de l’ordre de 1,8 %, impossible de savoir qui serait qualifié pour cet hypothétique second tour. Mais le fait même qu’un tel duel existerait est en soi une sensation, explique Europe 1. Ifop n’a en revanche pas posé la question du second tour.
Les petits candidats eux ne progressent guère : 11 % pour Mélenchon (au lieu de 11,1 %) et 10 % pour François Bayrou (au lieu de 10,31 %).