Le 6 avril 1994, l’avion du président rwandais Habyarimana était abattu par des tirs de roquettes. Dès le lendemain, le pays s’enfonçait dans l’horreur absolue du génocide d’au moins 800.000 personnes. Vingt ans après, à l’heure d’un indispensable recueillement, certaines responsabilités et complicités restent encore à établir.