«Pour la SNCB, notre fils ne valait que 4.000 euros»
Cinq ans après le drame de Buizingen, Panayotis et Béa Androkinos attendent toujours de savoir pourquoi leurs fils est mort dans l’accident.
Journaliste au service Société
Par Frédéric Delepierre
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A lire dans le 17 heures