Un parfum de corruption flotte sur la SNCB et ses filiales nébuleuses. Quel serait le coût caché de ces gares qui affolent les promoteurs immobiliers ?
Par la rédaction
Temps de lecture: 1 min
Jeudi 28 mai, il n’y avait presque pas de trains dans les somptueuses gares de Liège et d’Anvers. Une nouvelle journée de grève que les navetteurs n’essayent plus de comprendre. Le communiqué du syndicat à l’origine des perturbations parle de « déshumanisation des prestations » et de « cadences infernales » dans un contexte d’années noires pour le groupe endetté jusqu’au cou. Mais il suffit d’observer la gare des Guillemins, à Liège ou le bel atrium d’Anvers pour comprendre le malentendu. Pourquoi avoir créé de si fastueuses gares ? À qui va profiter le plus grand parking qui se construit aux abords de Louvain-la-Neuve ? Réponses dans votre nouveau Soirmag+, en téléchargement ici : http://soirmagplus.lesoir.be