Bertrand Crasson: «Je me suis fait surprendre»

Bertrand Crasson: «Je me suis fait surprendre»
SAINT-DENIS
De l'un de nos envoyés spéciaux
La saison 1997-98 ne restera pas gravée dans la mémoire du défenseur napolitain. Descendant en série B avec son club - qu'il quittera pour retourner à Anderlecht -, il a vécu, dans le somptueux vaisseau de Saint-Denis, 21 minutes d'enfer face à Marc Overmars, le turbulent ailier gauche d'Arsenal. Hors du coup, le défenseur bruxellois s'est même vu retirer du jeu après ce court laps de temps. En décembre 1996, au stade Roi-Baudouin, sur l'autre flanc, Philippe Léonard avait subi le même coup du sort en étant rappelé sur le petit banc par Wilfried Van Moer, à la demi-heure.
*Bertrand, tout s'est passé très vite pour vous. Trop vite sans doute...
*Dans les vingt premières minutes, il y avait, vous l'avez vu comme moi, peu de choses à faire, si ce n'est laisser passer l'orage. A gauche, Overmars était vraiment très fort: on voyait qu'il se sentait sûr de lui.
*Au point de vous flanquer un sacré tournis, non?

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