Théâtre La princesse Turandot de l’Infini Théâtre à Charleroi : Sous le masque, le conte
Article réservé aux abonnésPar Michèle FricheTemps de lecture: 2 min
Turandot, princesse chinoise, d’une beauté, d’une intelligence et d’une cruauté insoutenables, fait décapiter tous les hommes amoureux d’elle… s’ils ne peuvent résoudre les trois énigmes qu’elle leur pose. Le Prince Kalaf, incognito à Pékin, tombe sous le charme et relève le défi. Mais la sphinx persiste à se soustraire au mariage. Kalaf lui laisse une chance : qu’elle devine son identité et il la laissera libre. Les ressorts de la ruse, de la corruption, de la torture sont mis en branle. Turandot réussit mais s’incline, par amour…
Sous la fable (1762) de Carlo Gozzi courent bien des fantasmes ! Orgueil ? Peur du désir ? Cette histoire inspirée d’un conte persan, le poète vénitien l’a traitée en mixant son orient imaginaire avec la commedia dell’arte, ses Pantalon, Tartaglia…, d’où ce ton tragicomique et onirique.
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