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Des écoles d’instits sous-équipées

Un rapport officiel pointe de nombreuses lacunes dans la formation des instituteurs.

Il souligne aussi la capacité des enseignants à faire des miracles et formule des recommandations aux politiques.

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Chef du service Société Temps de lecture: 5 min

Bien, mais peut beaucoup mieux faire dans de nombreux domaines.» La mention pourrait résumer, caricaturer presque, un rapport d’experts indépendants sur la qualité de la formation des instituteurs et institutrices. Des pédagogues, directeurs, enseignants, étudiants, professeurs d’universités belges et étrangers, mandatés par «l’Agence pour l’évaluation de la qualité de l’enseignement supérieur», ont sillonné une vingtaine d’écoles francophones et germanophones avant d’écrire un rapport très fouillé. Morceaux choisis.

1La qualité de la formation. Il faut le pointer d’emblée, à l’instar des experts: «La qualité de l’encadrement, le soutien et la disponibilité des enseignants formateurs comme du personnel sont soulignés par les étudiants. Pour ceux qui ont expérimenté d’autres modalités de formation, cela constitue un des points forts indéniables du cursus.» Ils apprécient au passage l’engagement envers l’institution.

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