
Une mare d’huile dans laquelle se reflète la célèbre façade de La Bellone, eau dormante créant un espace dans l’espace par le truchement du reflet, évoquant pour Nazanin Fakoor le palais Chehel Sotoun d’Ispahan. « J’aime cette idée que le reflet fasse partie intégrante de l’architecture, qu’il crée une dimension virtuelle aussi tangible que l’espace réel », explique cette jeune artiste iranienne, née à Téhéran et installée à Bruxelles. Diplômée en arts du spectacle à Munich et à la Sorbonne Nouvelle, puis en scénographie à La Cambre, Fakoor a travaillé à plusieurs reprises avec Robert Wilson au Watermill Center à Long Island, New York. Elle a multiplié les collaborations avec différentes maisons de théâtre et d’opéra avant de se consacrer à ses projets personnels.

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