Un an après les attentats: pourquoi faut-il se souvenir?

Un an jour pour jour, les Belges perdaient leur innocence. Mardi 22 mars, à 7h58, deux bombes explosaient à l’aéroport de Zaventem, suivi d’une troisième déflagration presque une heure plus tard à la station de métro Maelbeek à Bruxelles. Un an après l’horreur, la capitale et la Belgique se rassemblent pour commémorer, pour se souvenir. Mais en quoi est-ce si important de le faire ?

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée