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La rentrée des classes et du harcèlement

à l’idée de retomber sur leurs bourreaux

sur les bancs de l’école. C’est le cas de David, 17 ans, dont dix à subir

le mauvais traitement de ses camarades. Et ses conséquences glaçantes.

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Journaliste au service Economie Temps de lecture: 5 min

Non, ce n’est pas à cause de la chaleur des derniers beaux jours de vacances. Si David transpire, c’est à cause de son malaise, bien compréhensible. Ce garçon de 17 ans, en apparence sans histoire, vit l’enfer du harcèlement scolaire depuis dix ans en région liégeoise. Et là, il se balade d’un pas peu confiant devant son ancien établissement… « C’est poignant. Tout mon mal-être par rapport à l’école revient d’un coup », commente-t-il sous les fenêtres du troisième établissement de ses secondaires chahutées. La semaine prochaine, c’est un quatrième qui l’attend, avec l’espoir de jours meilleurs. N’empêche, comme des milliers d’autres élèves harcelés aux quatre coins de la Fédération Wallonie-Bruxelles, rentrée rime pour David avec ventre noué. « Je stresse. J’ai peur que malgré ce énième changement d’établissement, ça recommence. Encore plus fort. Vous savez, j’aime l’école pour ce que j’y étudie.

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