de la revue « Dérivations »,
le livre a pour vocation d’alimenter le débat.
Il s’intéresse à la friche de Carsid sur laquelle
se dresse le HF4
mis à l’arrêt en 2008.
Ou comment faire cohabiter mémoire
et renouveau urbain.

Depuis les forges du Moyen Age jusqu’aux derniers hauts-fourneaux, la Wallonie est marquée au fer rouge de la sidérurgie. Que faire des friches industrielles qui subsistent ? Comment tirer parti de leurs outils, les intégrer dans la reconstruction des villes, exploiter leur potentiel historique, leur mémoire ? C’est le propos de Vive les hauts-fourneaux, vers la reconnaissance du patrimoine sidérurgique de la Wallonie, un livre coécrit par Noémie Drouguet et notre confrère Philippe Bodeux, qui l’ont complété par des contributions éclairantes.
A partir des réalités du HF4 de Carsid, des anciennes forges de Clabecq et du bassin liégeois qui s’étend sur 17 kilomètres d’Ougrée jusqu’à l’aciérie de Chertal, les auteurs interrogent l’avenir : comment préserver les témoins de cette épopée industrielle, et notamment la « cathédrale de feu » de Charleroi ? Quelle place lui donner dans la reconversion du site d’une étendue de 104 hectares. Et, au-delà, quelles ambitions pour ce projet ?

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