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L’ultime bataille pour siéger

au Conseil de sécurité de l’ONU

La Belgique mène ce début de semaine à New York une intense campagne diplomatique.

Objectif : briguer un siège de membre non permanent au Conseil de sécurité de l’ONU.

L’aboutissement d’une - très - longue course de fond.

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Cheffe adjointe au service Monde Temps de lecture: 6 min

C’est la cerise sur le gâteau d’une campagne qui aura duré deux ans. Lundi, le roi Philippe et la reine Mathilde s’envolent pour New York en compagnie du ministre des Affaires étrangères Didier Reynders. Le Roi prononcera un discours devant l’Assemblée générale à l’occasion d’une réunion spéciale consacrée à la consolidation et la pérennisation de la paix. La reine assistera à des réunions en sa capacité de défenseure des objectifs de développement durable. Une dernière offensive de charme pour convaincre les Nations unies de l’importance d’accorder à la Belgique un siège de membre non permanent au Conseil de sécurité de l’ONU – responsable principal du maintien de la paix et de la sécurité internationales – pour la période 2019-2020 (voir les modalités du vote ci-contre). Dans le groupe de pays auquel appartient le royaume : deux places pour trois candidatures. Face à la Belgique, qui compte déjà cinq occupations du siège de membre non permanent : l’Allemagne et Israël.

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