Accueil

Doris Day,

l’Américaine parfaite

Article réservé aux abonnés
Temps de lecture: 3 min

Décès

Doris Day,

l’Américaine parfaite

Décédée lundi en Californie à l’âge de 97 ans, Doris Day restera dans les mémoires pour « Que sera, sera », un tube planétaire qui lui avait permis de réunir les deux grands axes de sa carrière : la chanson et le cinéma, auxquels elle doit deux étoiles sur le « Boulevard de la gloire » à Hollywood.

La blonde Américaine a 32 ans, en 1956, quand Alfred Hitchcock lui donne le rôle émouvant d’une mère dont l’enfant est enlevé par des espions venant du froid dans L’Homme qui en savait trop. Aux côtés de James Stewart et de Daniel Gélin, Doris Day joue un rôle taillé sur mesure : celui d’une chanteuse célèbre qui interprète « Que sera, sera » à tue-tête pour signaler à son fils que l’heure de la libération est proche. Le morceau, signé Jay Livingston et Ray Evans, décroche l’Oscar de la meilleure chanson originale.

Cet article est réservé aux abonnés

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée
Chargement
Le fil info
Tous

En direct

Le direct

    La UneLe fil info Partager

    Le meilleur de l’actu

    Inscrivez-vous aux newsletters

    Je m'inscris

    À la Une

    références Voir les articles de références références Tous les jobs