« Pas une de plus » :
une vingtaine
de féminicides ont
déjà été commis
cette année.


Campagnes de sensibilisation, prises de parole dans les médias, propositions de loi visant à inscrire le féminicide dans le code pénal… Difficile d’identifier tous les éléments qui ont pu contribuer au succès du grand rassemblement contre les violences faites aux femmes. Dimanche, ils étaient environ 10.000 à faire entendre leur voix dans les rues de Bruxelles. C’est deux fois plus que lors de la marche de 2018. Entre-temps, une vingtaine de femmes sont mortes en raison de leur condition féminine, ce qui porte à 96 le nombre de victimes depuis début 2017, selon le collectif Mirabal, qui réunit une centaine d’associations issues de la société civile.

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