nous apprend des crises à venir


Ces dernières années, le paysage est constellé d’avertissements de plus en plus vigoureux. Une pandémie mondiale figurait bien dans le radar des experts ; l’urgence climatique et l’effondrement de la biodiversité le sont depuis bien plus longtemps. Premier rapport du Giec en 1990, premières alertes sur la biodiversité dès les années 60. « Rien de mieux qu’une crise pour apprendre à penser », dit-on. « Dans nos sociétés, les grands changements se font par à-coups », regrette un expert. « Sans crise, personne n’écoute. » Le coronavirus nous parle, donc. S’il est hasardeux de prédire de grands changements, il n’est pas trop tard pour se demander ce qu’on peut en apprendre.

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