par les ministres des Finances
jeudi soir n’impressionnent pas
les économistes.
Mais ils posent des précédents
dans les gestions de crise.


Les Pays-Bas remportent la bataille européenne ». « Les Pays-Bas s’inclinent devant la pression allemande ». Ces deux titres de la presse néerlandaise, vendredi matin, résumaient l’ambiguïté de l’accord trouvé la veille entre ministres des Finances européens, à l’Eurogroupe, sur les contours de leur solidarité face au choc du Covid-19. « Il n’y a pas de bon compromis sans bonnes ambiguïtés », a d’ailleurs déclaré le ministre français, Bruno Le Maire, après la réunion par téléconférence.
« Un accord qui semble avoir trouvé l’agrément de tout le monde – sinon ce ne serait pas un accord –, est une bonne nouvelle. Maintenant il faudra attendre que la poussière soit retombée pour examiner en détail la qualité des décisions prises (…) », nous dit d’ailleurs Jean Claude Juncker, ancien Premier ministre luxembourgeois, président de la Commission et de l’Eurogroupe. On a tenté d’y voir clair.
1

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
