de l’histoire, les pubs
londoniens ont fermé
la capitale britannique dévoile un visage post-apocalyptique.

Shaftesbury Avenue, l’artère des théâtres qui sépare Soho de Chinatown depuis Piccadilly Circus, est à l’agonie. Seules les enseignes lumineuses des comédies musicales, figées par le coronavirus et scintillant comme dans un vieux flipper, la maintiennent en vie. Thriller, Jamie, Les Misérables. « La lumière en tant que mesure des rêves, la chanson est finie », chantaient les Pogues dans « A rainy night in Soho », qui n’est plus qu’une terre désolée aujourd’hui. « Je n’avais jamais vu ce quartier ainsi, même pas à 4 heures du matin », nous raconte

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